Le mot du Bureau

LE MOT DU BUREAU
Août 2025

Chers amis,

À Marseille, la pluie n’est pas si fréquente. Mais voilà que la ville essuie deux tornades à l’occasion d’évènements importants qu’il a fallu reporter : la rentrée des classes, c’est déjà grave en soi, et surtout le match de foot OM-PSG, ce qui est très très grave pour les tifosi. Mais cela a quand même eu deux bienfaits : la ville est débarassée de ses détritus, qui sont tous maintenant dans le Vieux-Port mais il ne faut pas le dire, et tout le monde aborde l’automne avec une sacrée pêche ! Notre association repart à un rythme d’enfer ! Qu’on en juge : l’attribution du Prix de l’École du Pharo 2025, la constitution d’un nouveau Bureau, la préparation des XXXèmes Actualités du Pharo, l’assemblée générale ordinaire, pas si ordinaire que ça cette année, et la publication d’un nouveau livre ! Mais nous ne sommes pas les seuls à nous activer : l’association Le Kaïcédrat publie un long et intéressant rapport d’activité, l’ESA baptise la promotion Valérie André, ce qui fait que ce bulletin frôle encore la centaine de pages !

Bonne lecture.

Le Bureau

mardi 15 septembre 2020

Médecine tropicale: les archives de l'année 2005 sont en ligne

2005 : l'année du Centenaire du Pharo. Les six numéros du volume 65 de MT, publié cette année-là, sont maintenant disponibles:


Onglet Archives Pharo > Centre de documentation de l'IMTSSA , les CD > Les archives de Médecine Tropicale : année 2000, 2001, 2002, 2003, [2004 est en attente], 2005.

Le volume 65.2 (page 136) comporte l'annonce, et l'appel à contribution, du projet de l'Espace Jamot, à Saint Sulpice les Champs.

Quinze plus tard, le président de Ceux du Pharo vous annonce le transfert des archives conservées dans cet Espace Jamot au Musée des Troupes de Marine, à Fréjus (83).

Le volume 65.3 traite de l'histoire de ce centenaire, et se termine par un article d'Yves Buisson:

Doit-on encore enseigner la médecine tropicale et à quelle fin ? Ou faut-il se résigner abandonner une discipline qui a motivé tant de générations et dans laquelle le Service de santé des armées a cumulé tant d’expertise ? Après l’ère coloniale et la coopération, la médecine tropicale doit-elle se réduire à la médecine du voyage ? 

L'année 2013 a sans doute répondu en partie aux interrogations d'Yves Buisson.

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