Rendre hommage au docteur Jamot est une tradition cinquantenaire à laquelle Ceux du Pharo se devait de participer. Le devoir de mémoire est en effet l’essence même de notre association, comme nous l’avons prouvé plusieurs fois, et nous pouvons d’ores et déjà vous assurer que nous irons chaque année nous recueillir sur la tombe de notre grand ancien, que ses adjoints, ses disciples, appelaient avec un immense respect le Patron. Mais, à cause du volumineux courrier que nous avons reçu, nous avons également constitué un dossier sur les médecins et chirurgiens à Diên Biên Phu. À bien y réfléchir, cela relève aussi du devoir de mémoire. C’était il a 65 ans et ce drame est malheureusement bien oublié aujourd’hui.
Le mot du Bureau
Chers amis,
Nous étudions la possibilité de faire un numéro « spécial vacances » quand le drame de l’assassinat de notre camarade Alban Gervaise est venu nous ramener à l’objectif premier de l’association, le devoir de mémoire. Nous avions consacré une biographie à Alban dans « Itinéraires » et ce livre lui avait même été dédié, ce qui, pour nous, est un minimum.
Ce mois-ci, en même temps mais dans deux magazines différents et par des auteurs qui ne se sont pas concertés, sort une biographie de Nicole Girard-Mangin (1878-1919), première femme médecin militaire, à la carrière tout-à-fait étonnante. Et puis, notre camade Michel Desrentes nous envoie celle d’Éric Dumont, marin et écrivain.
Ainsi se perpétue le devoir de mémoire qui nous est si cher.
lundi 28 mai 2001
Le mot du Bureau : mai 2019
Rendre hommage au docteur Jamot est une tradition cinquantenaire à laquelle Ceux du Pharo se devait de participer. Le devoir de mémoire est en effet l’essence même de notre association, comme nous l’avons prouvé plusieurs fois, et nous pouvons d’ores et déjà vous assurer que nous irons chaque année nous recueillir sur la tombe de notre grand ancien, que ses adjoints, ses disciples, appelaient avec un immense respect le Patron. Mais, à cause du volumineux courrier que nous avons reçu, nous avons également constitué un dossier sur les médecins et chirurgiens à Diên Biên Phu. À bien y réfléchir, cela relève aussi du devoir de mémoire. C’était il a 65 ans et ce drame est malheureusement bien oublié aujourd’hui.
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