Rendre hommage au docteur Jamot est une tradition cinquantenaire à laquelle Ceux du Pharo se devait de participer. Le devoir de mémoire est en effet l’essence même de notre association, comme nous l’avons prouvé plusieurs fois, et nous pouvons d’ores et déjà vous assurer que nous irons chaque année nous recueillir sur la tombe de notre grand ancien, que ses adjoints, ses disciples, appelaient avec un immense respect le Patron. Mais, à cause du volumineux courrier que nous avons reçu, nous avons également constitué un dossier sur les médecins et chirurgiens à Diên Biên Phu. À bien y réfléchir, cela relève aussi du devoir de mémoire. C’était il a 65 ans et ce drame est malheureusement bien oublié aujourd’hui.
Le mot du Bureau
Chers amis,
À Marseille, la pluie n’est pas si fréquente. Mais voilà que la ville essuie deux tornades à l’occasion d’évènements importants qu’il a fallu reporter : la rentrée des classes, c’est déjà grave en soi, et surtout le match de foot OM-PSG, ce qui est très très grave pour les tifosi. Mais cela a quand même eu deux bienfaits : la ville est débarassée de ses détritus, qui sont tous maintenant dans le Vieux-Port mais il ne faut pas le dire, et tout le monde aborde l’automne avec une sacrée pêche ! Notre association repart à un rythme d’enfer ! Qu’on en juge : l’attribution du Prix de l’École du Pharo 2025, la constitution d’un nouveau Bureau, la préparation des XXXèmes Actualités du Pharo, l’assemblée générale ordinaire, pas si ordinaire que ça cette année, et la publication d’un nouveau livre ! Mais nous ne sommes pas les seuls à nous activer : l’association Le Kaïcédrat publie un long et intéressant rapport d’activité, l’ESA baptise la promotion Valérie André, ce qui fait que ce bulletin frôle encore la centaine de pages !
Bonne lecture.
Le Bureau
lundi 28 mai 2001
Le mot du Bureau : mai 2019
Rendre hommage au docteur Jamot est une tradition cinquantenaire à laquelle Ceux du Pharo se devait de participer. Le devoir de mémoire est en effet l’essence même de notre association, comme nous l’avons prouvé plusieurs fois, et nous pouvons d’ores et déjà vous assurer que nous irons chaque année nous recueillir sur la tombe de notre grand ancien, que ses adjoints, ses disciples, appelaient avec un immense respect le Patron. Mais, à cause du volumineux courrier que nous avons reçu, nous avons également constitué un dossier sur les médecins et chirurgiens à Diên Biên Phu. À bien y réfléchir, cela relève aussi du devoir de mémoire. C’était il a 65 ans et ce drame est malheureusement bien oublié aujourd’hui.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire